DEI - communiqué de presse du 24 juin 2010
DEI-France est scandalisée de la façon dont le gouvernement, aux ordres de l’Elysée, a fait revenir les sénateurs sur leur vote excluant le Défenseur des enfants du nouveau Défenseur des droits.
Déni de démocratie : alors même qu’il s’agit d’une institution constitutionnelle censée défendre les droits fondamentaux des personnes, le pouvoir exécutif met aux ordres le pouvoir législatif, sapant ainsi les fondements même de la démocratie.
Déni de l’enfance : les sénateurs de la majorité accèdent à la demande du gouvernement de revenir sur leur délibération et ceux qui avaient eu le courage de présenter un amendement motivé par le respect des droits des enfants acceptent de renier leurs convictions au profit d’une commande politicienne d’unité de la majorité présidentielle.
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Déni de démocratie : alors même qu’il s’agit d’une institution constitutionnelle censée défendre les droits fondamentaux des personnes, le pouvoir exécutif met aux ordres le pouvoir législatif, sapant ainsi les fondements même de la démocratie.
Déni de l’enfance : les sénateurs de la majorité accèdent à la demande du gouvernement de revenir sur leur délibération et ceux qui avaient eu le courage de présenter un amendement motivé par le respect des droits des enfants acceptent de renier leurs convictions au profit d’une commande politicienne d’unité de la majorité présidentielle.
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09/06/2010
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